Halloween en diaper l’horreur et le bonheur

Catégories : Diaper couple, plusieurs, lesbiennes Diaper girl / Little girl
il y a 4 ans
Une petite histoire érotique pour Halloween

Je suis une little, comme on dit. Une fille majeure et responsable dans la vie quotidienne et une autre fille dans mon petit chez moi. Dans l’intimité, je redeviens ce que je suis dans mon coeur, mon âme, une petite fille âgée de 6 ans. Dès que je suis dans mon appartement, je n’ai qu’une envie : retirer mes vêtements de grande, de créer ma vie de rêve à moi, sauf qu’il y manque un Daddy.

Dès mon arrivée, j’enfile souvent ma salopette LittleForBig, la Babydoll Overalls, son look Little est trop génial, puis des collants assortis et des pantoufles nounours toutes usées. Un bon biberon de lait chocolaté me tient compagnie avec Teddy, mon nounours de toujours. Soit je lis, soit je dessine et parfois, surfe sur Abkingdom ou Fessestivites en rêvant de trouver un prince charmant.

Pour anticiper Halloween, je me suis offerte la Luna Onesie. C’est un ensemble noir body et jupe sur le thème du chat Magical Girl. Cela me permettait de rester moi-même tout en ne passant pas pour une hurluberlu. Mes amis avaient prévu une virée dans des bars sympa et avaient insisté pour que je sois de la fête malgré mes finances catastrophiques.

« Tu seras notre invitée, la petite que l’on sort et qu’on accompagne pour pas qu’elle ait peur » m’avait dit Sabrina, mon amie de toujours. Elle seule connait mes petits secrets et ne me juge pas. Au contraire, on s’est même fait une soirée pyjama et bibi entre filles. Cela l’avait bien amusée.

Pour le soir d’Halloween, j’ai anticipé le souci des filles. Traduction, la queue aux toilettes parfois horribles où même, toucher la poignet de porte fait peur. J’avais donc mis une vraie couche au lieu d’un pant. Elle n’était pas très épaisse mais assez efficace pour une soirée tout en étant discrète. Ca, c’est l’avantage d’être ABDL, on s’évite les toilettes et queues interminables.

Le samedi 31 octobre, nous nous sommes retrouvés dans notre brasserie habituelle. Les filles et les garçons étaient déjà bien allumées quand je suis arrivée. Je n’ai même pas eu le temps de commander à boire qu’un verre de sangria m’a été apporté. Nous avons chanté, un peu dansé dans ce décor fait de toile d’araignée, de monstres, de citrouilles innocente découpées. Pour me décoincer un peu la grande timide, les filles m’ont faite un peu boire, un peu trop puisque j’ai commencé à faire n’importe quoi, comme recommander des boissons pour les grands....

Si bien qu’à minuit, j’étais un peu bourrée et malade, c’est ce qui arrive quand on n’a absolument pas l’habitude de picoler. On ne sait pas se gérer et on se fait piéger.

Sabrina a tenu à me raccompagner, pour elle, me laisser entrer seule était trop risqué. Elle doutait même que je retrouve ma maison, enfin, là elle exagérait. Arrivées chez moi, Sabrina a tenu à ce que je prenne une douche avant de me coucher et, en cas de souci, a déposé un seau à côté de mon lit.

  • Ma puce, puisque tu en as, je crois qu’il serait bien que tu mettes une couche cette nuit. Avec ce que tu as picolé, te lever pour aller faire pipi n’est pas une bonne idée. M’a dit Sabrina.

Je l’ai écoutée et j’en ai mise une avant d’enfiler un body et de me laisser coucher par mon amie. Elle m’a fait un gros bisou sur le front avant d’éteindre les lumières et de retourner faire la fête. Le sommeil n’a pas tardé à venir, même si mon lit bougeait un peu comme un bateau.

Soudain, j’ai entendu des gens chanter. La lumière s’est allumée et ils sont rentrés dans ma chambre. Accompagnés de Sabrina, les amis étaient venus prendre de mes nouvelles au milieu de la nuit. L’apprentis médecin, en fait c’est le surnom que l’on a donné à l’étudiant en médecine a tenu à m’ausculter. Avant même que je dise non, il avait tiré ma couette dévoilant ma tenue à tout le monde.

L’horreur c’est abattu sur moi ! Ils et elles sont devenus hystériques. Ils riaient, se moquaient de moi, Sabrina bourrée et en plein délire leur a apporté un de mes biberons. Les filles sont devenues ignobles, elles voulaient jouer à la poupée et même changer la coucouche de la petite. Je me souviens d’avoir hurlé quand ils ont pris Teddy, mon nounours de toujours.

Aidées des garçons qui me tenaient les bras et les jambes, les filles ont réellement joué à la poupée avec moi pendant que les garçons chantaient à tue tête la souri verte devenue rose.... Ces garces ont même fouillé dans mes placards et trouvé de quoi s’amuser avec la poupée de chiffon. Quand enfin j’ai été changée et habillée pour la nuit avec en plus de mon body, la grenouillère Pikachu, j’ai pu me cacher sous ma couette.

Ils sont repartis en me laissant en larme. Je pleurais de honte, tout le monde connaissait mon secret m’avait vu nue et habillée pour la nuit en petite fille. A 20 c’est dur pour le moral. Il ne me restait plus qu’une solution : déménager, changer de ville et même de pays car je savais qu’ils ne m’épargneraient pas. Pire encore, le raconteraient à leurs amis et partageraient sûrement les quelques photos qu’ils avaient faites.

Même en boule sous ma couette, j’ai entendu du bruit. Nooooonnnnnn il n’allaient pas recommencer, pitié !!!!!!!!!!!!!!!!

Il y avait bien quelqu’un chez moi. Je ne m’étais pas trompée et quand j’ai sorti la tête de dessous la couette, j’ai vu de la lumière dans ma cuisine. Dans l’embrasure de la porte je l’ai vu arriver. C’était un des derniers garçons à avoir rejoint la bande. J’avais monstrueusement peur et je me suis encore cachée quand il est entré dans ma chambre. J’étais convaincue qu’il revenait pour me v i o l e r ou me martyriser encore.

Quand je l’ai senti s’asseoir sur mon lit, mon coeur s’est emballé, ma dernière heure venait peut-être d’arriver. Au lieu de ça, il m’a parlée doucement, il chuchotait que je ne devais pas avoir peur de lui. Il disait qu’il était revenu juste pour prendre soin de moi. Je ne voulais pas MOI qu’on prenne soin de MOI ! Je voulais qu’on me foute la paix, qu’il parte et aille en enfer jouer avec les araignées et les monstres d’Halloween.

  • Coucou bébé, je t’ai apporté un aspirine et un peu de café dans un biberon.

Je m’entends encore crier « Je suis pas un bébé, va t’en » !

  • Non pas tout de suite. Il faut que je soigne un peu ton corps malade et sûrement un peu ta tête car ton moral a du en prendre un coup. Allez, fait un effort, assied-toi pour prendre cette aspirine ou sinon, demain tu auras très mal à la tête.

  • Non ! Va t’en vilain pas beau.

  • Tu préfères que je te donne une fessée ou boire ton aspirine sans discuter ?

  • Une fessée ? Mais ça va pas ta tête ?

  • C’est ce qu’il faut parfois donner aux vilaine filles capricieuses qui refusent de se faire soigner. Moi je préfère les câlins et toi ?

  • Ben moi aussi je préfère les câlins !

  • Alors fais-moi plaisir, prends cette aspirine ! M’a dit le beau garçon en souriant.

J’ai fini par prendre son verre d’eau et son caché en me disant qu’abdiquer m’éviterait peut-être d’autres soucis. Après tout, ce n’était un peu d’eau avec de l’aspirine.

  • Est-ce que je peux m’asseoir à côté de toi deux minutes ? M’a demandé le garçon avec un sourire d’ange et un biberon de café à la main.

Comme il avait l’air gentil, j’ai accepté et je lui ai fait un peu de place. Il m’a attrapée et presque soulevée pour me prendre dans ses bras comme si j’étais un bébé avant de présenter la tétine du biberon contre mes lèvres ! ! !

  • Non mais ça va pas la tête ! Je peux boire mon biberon toute seule !

  • Oui bébé, mais dans l’état où tu es, c’est un truc à salir ton joli lit et ta grenouillère. Ce serait dommage. Allez ouvre la bouche et bois ton biberon !

J’ai encore une fois abdiqué ! En d’autres temps, cela m’aurait bien plus qu’un beau garçon soit mon Daddy mais là..... Pendant que je tétais appuyée contre son épaule, de sa main libre il s’est mis à caresser mon visage du bout des doigts avec une extrême douceur. Je n’avais jamais eu de caresses aussi douces. Bon c’est vrai que je n’ai eu qu’un seul copain et que ma jeunesse n’a été que souffrance. Je ne m’étalerai pas sur ce sujet mais j’ai eu plus de mandales que de caresses ou bisous.

Ce beau garçon devenu ange gardien, un peu comme Joséphine LOL, me dorlotait, me câlinait. Il me disait que les autres avaient été irrespectueux et méchants avec moi. Quand il m’a dit qu’il avait fait effacer les photos qu’ils avaient faites de moi, sous la menace de détruire leur téléphone mobile, je n’ai pas pu faire autrement que de lui faire un bisou ! C’est parti du coeur, comme ça, sans réfléchir. Moi la grande timide je venais de faire la bise à un homme que je n’avais vu qu’une fois dans un bar d’étudiants.

Il m’a serrée très fort dans ses bras protecteurs et m’a remise la tétine du biberon dans la bouche. La main de l’ange Daddy ne s’est jamais aventurée sous ma couette, mais il m’a follement excitée quand même et ça, rien qu’avec le bout de ses doigts autour de mon visage, sur les creux de mes épaules. J’étais trop bien..... pour une fois.

J’ai eu envie de faire pipi, ce qui, avec le recul ne m’étonne pas. (Halloween a aussi des effets sur la vessie). Comme j’étais petite et en couche, secrètement sous ma couette, j’ai ouvert les vannes de ma vessie. Ce n’était pas manger épissé mais boire et pisser. (Bon OK, celle là elle est nulle, on oublie ?)

Quoi qu’il en soit, entre ses caresses magiques, les gros câlins dont j’ai toujours rêvé et la chaleur de mon petit pipi en couche, je surfais sur les nuages du bonheur.

Quand il m’a demandée de me pousser un peu pour se lever, je suis tombée du lit. Il faisait jour, il était parti en me laissant seule. Il m’a fallu un peu de temps pour rassembler mes neurones et réaliser que je venais de faire un rêve.

Oui mais si c’était un rêve, la visite cauchemardesque des amis devait l’être aussi ? Ma chambre n’était pas en désordre, enfin pas plus que d’habitude... Mes placards étaient fermés, la visite des sauvages n’étaient qu’un cauchemar. Et là, je me suis mise à pleurer. je ne savais plus si je n’aurais pas préféré que tout soit réellement arrivé pour que je puisse revoir mon Ange Daddy.

.......................

Le lundi j’ai revu Sabrina à la Fac. Après m’avoir demandée comment j’allais, elle m’a parlée d’Hugo, le dernier garçon qui était rentré dans la bande. Ce garçon avait flashé sur moi. Sur le fond, je n’en n’avais rien à faire de ce mec, je ne me souvenais pas de lui et encore moins de son visage. Après les cours, Sabrina (l’entremetteuse) m’avait invitée à prendre un café dans notre brasserie. Et là j’ai rencontrée Hugo pour la deuxième fois. L’ange Daddy de mon rêve en chair et en os.

Rêve ou réalité ?

Rêve parce qu’effectivement, Sabrina et les amis n’étaient jamais venus chez moi pour me martyriser. Et pourtant, cet Hugo ressemblait vraiment à l’ange Daddy. Mon amie a été surprise que m’a timidité s’envole soudain en présence d’un garçon, allez donc savoir pourquoi ?

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.
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